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26 Octobre 2014
Un fermier avait une chienne qui avait donné naissance à 4 chiots. Il prépara une annonce pour les vendre sur un écriteau qu’il cloua à l’entrée de sa ferme. Alors qu’il finissait de clouer l’écriteau, il sentit comme un tiraillement sur sa salopette. Se retournant il croisa le regard d’un jeune garçon qui lui demanda :
« Monsieur le fermier, je voudrais bien l’un de vos chiots, mais combien en demandez-vous ? »
« Eh bien » dit le fermier, en épongeant la sueur derrière son cou, « ces chiots sont issus de chiens de race et coûtent beaucoup d’argent »
Le garçon dépité baissa la tête tristement, mais se ressaisissant, il fouilla frénétiquement dans ses poches et en sortit 2 poignées de monnaie qu’il tendit au fermier.
« Monsieur le fermier, voici tout ce que j’ai, mais est-ce que cela suffira pour avoir le bonheur d’acquérir l’un de vos 4 chiots ? J’en prendrai bien soin ; vous pouvez en être sûr ! »
Le fermier touché par la compassion de l’enfant, lui répondit sans hésiter : « Mais bien sûr mon garçon, marché conclu ! ».
Il siffla et s’écria : « Dolly, Dolly, viens ici ! ».
Aussitôt, l’obéissante Dolly accourut suivie de ses 4 petites boules de poil.
Les yeux du petit garçon s’illuminèrent de joie, mais, se penchant, il aperçut dans la niche quelque chose comme une autre boule de poils qui remuait puis s’extirpa maladroitement de la niche, glissa, puis trébuchant rejoignit enfin ses frères qui se mirent à le mordiller.
« Je veux celui-là, Monsieur le fermier » dit le petit garçon, désignant du doigt l’avorton.
Le fermier s’agenouilla près du garçon et lui dit, la voix triste : « Mon garçon, tu n’y penses pas ! Ne vois-tu pas que ce chiot ne sera jamais capable de courir et de jouer avec toi comme le ferait n’importe lequel des autres chiots ? »
Le petit garçon, recula un peu et s’asseyant près de la clôture, commença à rouler une jambière de son pantalon, révélant une attelle en acier de part et d’autre de sa jambe atrophiée.
Il chercha le regard du fermier et lui dit : « Vous voyez, Monsieur le fermier, je ne cours pas très bien moi-même, et ce chiot aura besoin d’un maître comme moi pour le comprendre. »
Les larmes au bord des yeux, le fermier ramassa délicatement le chiot et le tendit au petit garçon qui le saisissant demanda au fermier : « Alors, combien pour mon chiot ? »
« Reprends ton argent » répondit le fermier. « Il n’y a pas de prix pour l’Amour ! »
Mon plaisir : faire plaisir à ma famille et mes amis, en préparant des petits plats simples mais relevés avec.... beaucoup d'amour.
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