Dans une cocotte faire revenir les morceaux de lapin de tous les côtés avec l'huile. Saler. Réserver dans un plat.
Ajouter les échalotes émincées dans le sens de la longueur. Couvrir, laisser cuire quelques minutes en remuant de temps en temps. Saler.
Remettre les morceaux de lapin.
Verser 10 cl de vin blanc. Laisser réduire.
Dans une casserole, faire chauffer 10 cl d'eau avec 1 cc de fond de veau. Verser le tout dans la cocotte.
Laisser cuire à couvert 40 minutes.
Trois minutes avant la fin de cuisson, délayer dans un bol 20 g de Maïzena avec un peu d'eau. Verser ce mélange dans la cocotte, remuer et continuer la cuisson à découvert.
Servir à l'assiette avec l'accompagnement de votre choix. Pour ma part, j'ai opté pour de la semoule.
250 g de champignons gris (locaux, achetés ce matin au marché de Grenade)
10 cl d'huile de tournesol
sel
1 gousse d'ail
persil
3 œufs
150 g de farine
1 sachet de levure chimique
12,5 cl de lait demi-écrémé tiédi
100 g de gruyère râpé
Laver les champignons, les couper en petits morceaux.
Les cuire dans une poêle avec 5 cl d'huile. Saler. En fin de cuisson ajouter l'ail émincé et du persil.
Bien mélanger. Laisser refroidir.
Préchauffer le four à 180°C. (therm. 6).
Pendant ce temps, dans un saladier, fouetter les œufs entiers. Verser la farine et la levure. Bien mélanger. Incorporer 5 cl d'huile puis le lait. Bien mélanger. Ajouter les champignons bruns. Mélanger.
Verser le tout dans un moule non graissé et enfourner 45 minutes.
C'est au 10, avenue de Montauban à Castelnau d'Estrétefonds que Ronan, vient d'ouvrir les portes de son épicerie BOCAFINA.
Tél. 05 54 93 06 15
C'est une adresse que je recommande, pour les gourmandes et les gourmets, où sont proposés des produits exclusivement locaux.
Mon choix s'est porté sur :
- un bocal "d'Artichauts et Lucques à l'escabèche" de la SARL ARTISAN DU FRUIT à RODEZ ;
- un paquet de pâtes fabriquées "avec amour" à BLAGNAC par l'entreprise CHE PASTA NONNA au blé Poulard, un blé ancien cultivé dans le Lauraguais aux qualités gustatives et nutritionnelles remarquables
- trois spécialités de l'entreprise LE PELERIN DES SAVEURS à NAUVIALE dans l'Aveyron :
du nougat à l'orange,
des nonettes au miel et à la myrtille,
des bouchées saveur châtaigne.
Beaucoup d'autres produits nous donneront l'occasion de revenir : des tartinables, des fromages, du thé, des vins, des bières, du café en grains torréfié à Toulouse,..
Vivement que la situation redevienne normale pour profiter de moments conviviaux en famille ou entre amis avec tapas.
Il était une fois le château de Saint Lambert, de style renaissance, situé sur la commune de Lioux sur les monts du Vaucluse à environ 700 m d'altitude.
Acquis par le département en 1932, ce site fut transformé en préventorium pour enfants de santé fragile.
Jean, natif du département du Gard, a séjourné dans ce château :
du 28 octobre 1952 au 31 mars 1955,
autrement dit de l'âge de 6 ans à 9 ans.
Il garde de cette période, un très bon souvenir bien qu'éloigné de sa famille. Par manque de moyens financiers et de locomotion, sa maman n'a pu venir le voir qu'une fois. La visite des parents était autorisée un dimanche par mois.
Dès son arrivée, en autobus, avec d'autres enfants, il se souvient d'avoir été mis "en quarantaine" dans le pavillon situé en contrebas du château, pour éviter les risques éventuels de contamination.
Il était "le chouchou" du personnel ainsi que de la lingère, Madame BLANC (qu'il a eu le plaisir de revoir et de remercier plus de cinquante ans après).
"La quarantaine" passée, il fut conduit, avec ses nouveaux compagnons de jeux, au château de Saint Lambert.
Il ne garde aucun souvenir de sa scolarité. Par contre, il se rappelle de longues promenades vers des contrées inconnues, de l'envie de se dépasser sans jamais se laisser dépasser.
Etre le premier… aujourd'hui cette envie ne l'a pas quitté.
Depuis 4 ans, il participe au trail de notre village. Chaque année, il est le premier de sa catégorie…
A la période des jujubes, un de ses copains partageait les fruits que ses parents lui apportaient. C'était pour Jean, d'ailleurs encore aujourd'hui, le symbole du partage et de l'amitié. Nous avons un jujubier dans notre jardin… Ceci explique cela.
En 2012, presque 40 ans après, il est revenu marcher sur les pas de son enfance. Nous avons été très bien accueillis par le personnel qui nous a invités à déjeuner.
C'est avec une grande émotion qu'il a eu le plaisir de visiter ce lieu ancré dans sa mémoire. Et c'est avec une plus grande émotion encore qu'il a récupéré son dossier dans lequel étaient classées les lettres que ses frères et sœurs lui avaient écrites en son temps…
En 1995 jusqu'en 2013, le château a été rattaché au Centre Hospitalier de Montfavet à Avignon pour des séjours thérapeutiques.
Il est resté inoccupé jusqu'en 2018.
Il a été racheté par Aldrick ALLAL, Président fondateur des cours privés Diderot Education.
Un grand merci L'ORIENT EXPRESS TRAITEUR pour le délicieux couscous que vous nous avez livré dimanche à 13 heures.
C'est grâce à ma nièce Aude que j'ai eu connaissance des plats que vous concoctez. M'en ayant fait beaucoup d'éloges, c'est avec confiance que je vous ai sollicité pour nous faire vivre un voyage gastronomique.
La semoule était parfaite, les viandes (agneau et poulet) ainsi que les légumes étaient délicieusement cuits et le bouillon parfumé et équilibré. Quant aux oignons et raisins confits…. une tuerie.
Réservation recommandée le plus tôt possible (idéalement 24 heures à l'avance) :
par téléphone n° 06 45 84 41 61
Messenger ou lorexpress31@gmail.com
Tous les renseignements (les différents plats, entrées et desserts ainsi que les tarifs) sont consultables sur la page FB "L'ORIENT-EXPRESS TRAITEUR".
Le COUSCOUS est inscrit depuis le 16 décembre 2020 sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l'Organisation des Nations Unis pour L'Education, la Science et la Culture (UNESCO en anglais : United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization)
C'est le résultat d'une candidature soutenue par l'Algérie, le Maroc, la Mauritanie et la Tunisie.
Ce plat emblématique du Maghreb est un symbole du vivre ensemble et se transmet de génération en génération.
Il figure dans le TOP10 des plats préférés des Français.
Ce mardi 19 janvier, les portes de la médiathèque étaient ouvertes dès 14 heures pour recevoir le public très impatient de découvrir ce lieu.
Un grand merci à toutes les personnes qui ont contribué à la création de ce bel ouvrage conçu par les architectes Marc SOULIE et Vincent LANNELONGUE.
Baptisée en hommage au peintre estrétefontain Rémy PEYRANNE qui nous a quittés en 2018.
A droite, en entrant, on aperçoit l'œuvre "VORTEX" d'Etienne REY, plasticien marseillais, qui flotte au-dessus des visiteurs. Elle est composée d'une trentaine de plaques en aluminium laqué blanc suspendues par des filins d'acier.
Les horaires d'ouverture sont les suivants :
Mardi
14 h 00 à 17 h 30
Mercredi
10 h 00 à 17 h 30
Vendredi
14 h 00 à 17 h 30
Samedi
10 h 00 à 17 h 30
L'abonnement annuel est gratuit pour les habitants de la communes.
Pour les extérieurs, tarif réduit : 10 €
Pour les extérieurs plein tarif : 20 €
(Tarif réduit : moins de 18 ans, chômeurs, handicapés bénéficiaires de minimas sociaux.)
1 kg 340 de veau coupé en gros morceaux (épaule sans os)
0 kg 588 de veau (jarret avec os)
4 blancs de poireaux
4 carottes
2 oignons
2 clous de girofle
1 cuillère à café de fond de veau déshydraté
6 belles tête de champignons bruns
40 g de Maïzena
38 cl de crème fleurette
pommes de terre
sel
huile
thym - laurier
La veille, éplucher, laver les poireaux, carottes. Tailler les légumes en biseaux. Eplucher les oignons, les piquer avec un clou de girofle (pour éviter que les clous de girofle s'échappent dans le plat). Réserver ces légumes au réfrigérateur dans une poche congélation. C'est un peu de temps gagné le matin.
Le lendemain, prévoir minimum deux heures de cuisson.
Dans une marmite huilée, faire revenir, au fur et à mesure, les morceaux de viande. Les réserver dans un saladier.
Traditionnellement la recette de la blanquette de veau à l'ancienne préconise de mettre les morceaux de veau cru directement dans l'eau froide. J'ai suivi les conseils de Guillaume GOMEZ, Chef de Cuisine à l'Elysée, qui conseille de faire revenir la viande car celle ci donne un meilleur goût au plat.
Remettre toute les morceaux dans la marmite. Recouvrir d'eau froide. Porter à ébullition.
Quand l'eau bout, écumer et saler. Ajouter les poireaux, les carottes et les oignons ainsi que le thym et le laurier.
Laisser cuire à feu doux durant une heure. Vérifier la cuisson des légumes. S'ils sont cuits, les retirer et les réserver dans un plat. Sinon continuer leur cuisson.
Une fois les légumes retirés, continuer la cuisson minimum une heure. Piquer la viande avec un couteau pour s'assurer de sa bonne cuisson.
Cuire les pommes de terre épluchées dans l'eau froide. Saler à ébullition.
Laver, couper les champignons et les faire revenir dans une poêle huilée. Saler.
Laisser refroidir le bouillon avec la viande. pour ne pas qu'elle sèche.
Dans un bol, diluer 40 g de Maïzena avec un peu de bouillon. Verser ce mélange dans la marmite.
Verser la crème fleurette. Bien mélanger. Ajouter les poireaux et les carottes.
Réchauffer le tout avant de servir :
La viande, nappée de sauce, entourée de ses légumes.
"Au XIIème siècle, l'Ordre des hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem, devenu par la suite l'ordre des chevaliers de Malte, construit la ville de Fronton autour de l'église Saint Jean Baptiste, nouvellement bâtie.
A partir de 1122, les possessions des hospitaliers sont regroupées en une commanderie dépendant du prieur de Toulouse.
Un château fort est construit, entouré de remparts."
Je n'ai trouvé aucune information relative à "la rue du demi siècle", avec maisons à colombages et encorbellements. Il semblerait que cette rue étroite et pittoresque reste le témoin de l'époque moyenâgeuse.
Dans la rue de la République, initialement la rue des fossés, on peut voir le jars, qui figurait sur le blason du Grand Maître de l'Ordre, Didier Thollon de Saint-Jalle, grand prieur de Toulouse et seigneur de Fronton.
Suite à une intervention chirurgicale, les infirmières se sont relayées pour me prodiguer des soins à domicile tous les jours durant plus d'un mois.
Un grand merci Marie, Noellie, Julie et Charlène pour votre professionnalisme, votre écoute, et vos encouragements.
Grâce à Vous quatre, à votre douceur et vos sourires j'ai mieux supporté les soins qui, croyez-moi, n'étaient pas très agréables et difficilement supportables certains jours.